4. Codages et décodages
En 2008, en collaboration avec Symbiotica (laboratoire de recherche artistique de l’Université de Biologie et d’Anatomie de Perth en Australie) l’artiste réalise à partir de la culture de ses propres cellules et d’autres cellules l’œuvre Le manteau d’Arlequin. Si le manteau d’Arlequin classique est constitué de pièces de tissus de provenances différentes et de couleurs variées, celui d’ORLAN est plus singulier puisqu’il se compose de boîtes de Petri et de cellules d’origine humaine et animale…