2. Des données à leur matérialisation
À la croisée de l’artistique et des laboratoires de recherche, en quoi consiste le projet « art factory » ? Comment a t-il vu le jour ? En outre, Dominique Moulon interrogera la plasticienne sur une expérience appelée L’empreinte de mouvements et qui consiste à réaliser une sorte de « cartographie des déplacements ». Si ce projet de matérialisation de données de géolocalisation permet ainsi de rendre tangible le déplacement d’individus dans l’espace urbain, il met également en exergue une certaine poétique du quotidien qu’il s’agira ici d’aborder. Cette question a amené la plasticienne à développer différentes versions qu’elle décrira. Dans un deuxième temps, il s’agira de voir comment ces données sont collectées et ce que cela implique.